Algumas observações sobre as células do tapete dos estames

Resumo

Les cellules du tapis — ou plutôt les assises nourriciêres — de V'étamine nous présentent un champ d'observation três intéressant. Nous avons récolté du matériel, de préférence, quelques plantes appartenant à différents groupes — Gymnospermae, Monocotyledoneae et Dicotyledoneae, étant le Cytinus hipocistus L. parasite du Cistus salviaefolius L. —

Le développement des cellules nourricieres commence d’une facon générale plus précocement que celui des cellulesmêres des microspores, c’est à dire, elles arrivent, généralemente au maximum de leur développement avec une ou deux mitoses, lorsque le noyau des cellules-mêres des microspores arrivent plus ou moins au stade zygotêne.

Dans ce stade, les cellules nourriciêres se présentent plus colorées que les autres et moins vacuolaides. Puis la chromaticité des noyaux vient plus ralenti avec limage gonflée, comme rétablie, et c'est alors que commencent les phénomeénes trophiques.

Il y a une relation três forte entre le développement des cellules nourriciéres et cellules-méres des microspores, comme nous avons observé dans le Hydnocarpus. Dans cette plante (anthére de la fleur hermaphrodite) le noyau des cellules nourriciéres ne se divise pas, comme s’il manquait une substance hormonal (excito-mitotique); les cellules-méres des microspores subissent un dépérissement jusqu’ à compléete disparition que n’arrive, dans plusieurs cas, au terme de la meiose.

Nous avons observé un phénoméne semblable dans I’Araucaria. Dans la fusion partielle (liaison) entre la cellule nourriciére et la cellule-mére des microspores, a lieu un certain dépérissement de la cellule-mére des microspores et méme un court retardement dans le phénoméne meiotique.